À Missirah, les cultures se portent bien à l’exception de la filière maïs qui a connu des destructions du fait d’insectes ravageurs.
Le mil, parmi les plus cultivées est à l’étape de la récolte et affiche de meilleurs prévisions côté rendements.
S’agissant de l’arachide, il faudrait encore des pluies afin qu’elle soit à l’étape de maturation.
Nos envoyés spéciaux Malick Dramé-Serigne Saliou Ndiaye ont échangé avec ces cultivateurs dans ce reportage.
2014 © HTCOM. | Design by SINAPPS